D’une part, la mondialisation est la réalité, mais de l’autre — mythe. Et l’un des auteurs de ce mythe est précisément le Friedman cité dans l’article. En fait, nous avons trait principalement de l’internationalisation. Et, paradoxalement, c’est l’internationalisation qui sauve les États nationaux! Prenez, par exemple, la Hollande. Ce petit pays est devenu le centre de la logistique européenne grâce au port de la ville de Rotterdam, de l’aéroport d’Amsterdam et de ses entreprises innovantes. Seules les normes unifiées de l’UE et de l’OMC (et des autobahns allemandes) ont fourni dans ce pays un tel développement qui, finalement, a donné au royaume néerlandais de nouvelles opportunités dans le domaine de la politique sociale, de la taxe et d’autres politiques. Par conséquent, vous pouvez comprendre pourquoi des pays aussi petits et dynamiques tels que le Luxembourg, l’Irlande, l’Estonie, la Finlande et la Slovénie, aiment l’Union européenne. Il y aura des États et des États, mais l’État acquiert une nouvelle qualité. L’État social keynésien disparaîtra, mais il y aura un État concurrent «bruyant», dont l’objectif principal est la compétitivité sur le marché international. Les États traditionnels se sont efforcés d’un microcosme national avec leurs chemins de fer, courrier, réseau électrique, centres scientifiques et t. D.. La mondialisation conduit à la spécialisation sectorielle des sociétés économiques territoriales. Les États modernes sont similaires aux conglomérats qui se concentrent sur le fait qu’ils peuvent. La politique sociale ne combat plus les conséquences d’une économie de marché, mais crée un capital humain. Vous obtiendrez une synthèse de la politique économique et sociale. La spécialisation sectorielle crée de nouvelles tâches pour les États. Les gouvernements se battent pour l’accès aux marchés étrangers. L’indépendance ne peut plus être recherchée dans l’autarchie, une indépendance d’un facteur doit être évitée en faveur du droit mutuel. Construire le monde arménien est une bonne idée (mais pas tout à fait nouveau), et pour celui-ci, il faut utiliser à la fois de nouveaux réseaux et des anciens (ARFD, fraternités arméniennes, etc.), mais pas pour enterrer l’État. Il doit être amélioré de sorte qu’il soutient de toutes les manières possibles la formation et le développement de grappes économiques et refuse toutes sortes de protectionnisme. Par la suite, l’État arménien découvrira de nouvelles opportunités non seulement pour les Arméniens, mais aussi pour lui-même — après tout, il y a beaucoup d’appels. J’ai une telle idée: les nations industrielles ont commencé à convaincre le développement, que le développement durable donne de grandes chances, comme l’efficacité énergétique. Les nations en développement ont peur du deuxième colonialisme (ils disent qu’ils ne veulent pas nous donner le droit d’utiliser des voitures et des centrales électriques sur le charbon, mais ils le font pendant longtemps).