Le matériau le plus traditionnel est une simple tache, c’est-à-dire un liquide pour imprégner du bois. Le parquet préparé, poli et nettoyé de la poussière est recouvert d’une composition qui conserve la texture du bois, ce qui lui donne une teinte différente. Puis couvrir, selon la nécessité du bon nombre de couches de vernis. Mais cette méthode présente un sérieux inconvénient: puisque la structure de l’arbre est hétérogène, la tache l’emporte de manière inégale. Et un site peut différer considérablement de l’autre en couleur. Mais en général, une telle surface hétéroclite sera peu attrayante. Pour prédire comment le parquet s’occupera du traitement des taches, quel modèle sera très difficile.