La publication précise donc que dans ce cas, l’État paiera des salaires à tous les détenus qui travaillent, dont une certaine partie (environ 20%) sera transférée au compte des victimes touchées par le prisonnier correspondant. De plus, une partie de l’argent sera transférée à des parents de prisonniers, afin qu’ils puissent réduire le fardeau des programmes sociaux existants aujourd’hui dans l’État.